On continue avec un quatuor dont la passion s'est concrétisée au fil des cours à l'IET.
Un garçon, trois filles, une section, la photographie. Ce groupe de 4 ex-étudiant(e)s de chez nous se retrouve désormais dans le même établissement: ARTS², l'Ecole supérieure des Arts de la Fédération Wallonie-Bruxelles.
Ils ne sont pas tous dans la même option mais ils sont unanimes pour dire que l'IET leur a apporté de solides bases pour aborder leur avenir scolaire et professionnel. "J'ai passé deux très chouettes années dans cette école. J'ai beaucoup évolué lors des cours de Madame Zachos. J'ai choisi l'option sculpture mais je pourrais sans problème réexpliquer toutes les bases à quelqu'un qui commence la photo tant j'ai de bons souvenirs de cette matière", commente Vanessa. Danaë abonde en ce sens: "On a appris énormément de mouvements, d'inspirations différentes, c'était super."
William, pour sa part, a fréquenté les deux options de technique artistique à l'IET. Après ses 5-6e en infographie, il a enchaîné avec une 5-6e en photo. En territoire connu, il conserve de bons souvenirs de l'ambiance dans la section Arts. "Au final, je conserve aussi des acquis dans les deux domaines. Mon projet de fin de 6e m'a beaucoup plu. C'était un livre de photos-montages sur le thème du kitsch. J'ai également progressé dans la maîtrise du programme Illustrator grâce à Monsieur Mayeur. Je m'en sers encore maintenant pour des dessins personnels."
Le système d'évaluation continue de l'IET me plait et me paraît plus logique
Pour Lola, son passage à l'IET lui a en quelque sorte tracé un chemin direct vers son établissement supérieur actuel. "On avait fait une expédition photos avec un prof et des élèves d'ARTS². Cela m'a permis de connaître cette école et c'est assez naturellement vers elle que je me suis dirigée après avoir eu mon diplôme à l'IET Notre-Dame." C'est avec un brin de nostalgie qu'elle repense parfois à la fin de son cursus dans le secondaire. "Monsieur Hannecart, Mesdames Zachos et Vanhaverbeke...Des profs super gentils et qui ont de la pédagogie."
Cet argument pédagogique est aussi repris par Vanessa. "Le système d'évaluation continue me plaît beaucoup et me paraît être le plus logique. On progresse petit à petit plutôt que de tout jouer sur deux séances d'examens super stressantes." Preuve que la pratique lui a plu, elle faisait le trajet tous les jours depuis Bruxelles pour venir à Charleroi. Outre la pratique, c'est également une mentalité qui a été appréciée à l'IET. "Je m'y suis directement bien sentie, confirme Danaë. Il y a une grande ouverture d'esprit. Chacun pouvait développer son projet et était accompagné par les profs."
A la lecture de tels compliments, on imagine aisément la réaction de la cheffe d'atelier: "Brrrrrrrrrrrrrah eeeeet ouais t'as vu ça ici?!"